Plus ou animal
Le viol, partant d’une chasteté inexistante
Aux dépens de celle qui tente
De se débattre dans la détresse et la peur
De ce que le moment présent renvoie comme odeur
Vous, immaculés de culpabilité
Vous ne méritez que d’être émasculé
Êtes-vous plus qu’un animal ?
Dans votre manifestation pour prouver
Une supériorité onirique
Mais véridique
Dans le mensonge qu’elle se force à dégager
Êtes-vous plus qu’un animal ?
Un suprême dédain entreprend un racisme
De sa propre espèce, un renie
Où en ce temps récurrent, couvert de jalousie
N’est que la dialectique d’idiots pensant avec narcissisme
Êtes-vous plus qu’un animal ?
Ses guerres débilitantes et immorales
A cause de je ne sais quelles raison « normales » !
Sont d’un niveau égal que, de juvéniles
A une échelle d’adulte j’en consens mon pauvre illustre en péril !
En disputent car une de leurs idées les rapproche du « mal »
Êtes-vous plus qu’un animal ?
Trop de maltraitances
Dans tous sens
Que se soit, vous êtes comme de minables insectes
Sauf que les raisons ici sont fades d’importance,
Aveuglé par votre caractère abject
Montrant au fond, une triste solitude dense
Êtes-vous plus qu’un animal ?
Théophile Drouet, Messager
La plume de la liberté
Vole vole puis s’arrête le cri des fusils,
Marche, cours dans les et les esprits
De facultés cognitives mais de raison non-présente
Nargue leurs arrogances, puis
Puise dans leurs forces ostentatoires, la vertu absente
En apparence, vaquant dans l’insolence
Perdu dans la pluie de non-vie
Mais d’espoirs.
Car Plume, opiniâtre dans les pages d’un livre,
Tu l’es aussi dans la bataille que tu nous livres
Continu ta traversée, oui
Le nombre de personnes perdant leurs attitudes pensantes
Dans l’encens de manipulations voguant aux narines
Du plus hébété mais contraire au plus inoffensif, de l’an
Prochain et de toujours,
La véritable puissance c’est l’amour.
Plume de Libération toi, qui en as eu marre des adulations
Et prière hier comme aujourd’hui, décide d’agir dans la prévention
Depuis des années et des siècles,
A dessein, tu nous donnes des maux ou mots implicitement cachés
Dans les dessins de la vie espiègles,
Comme une feuille vieillissante immuable dans ses entrailles séchées.
Le plus crucial pour toi, s’apparente à l’autrui.
Théophile Drouet, Messager
« Trois mots ont un sens »
« Scellé dans les vers est le véritable message »